Pénètre dans le monde secret de la culture du cannabis en guérilla. Avec notre guide, tu sauras trouver le lieu idéal, cultiver le sol à la perfection et à protéger tes, pour des frais modiques et à l’abri des regards. Apprends à cultiver ta propre beuh furtivement, et profite du résultat !
- Les avantages d’une culture de guérilla
- Choisir un emplacement pour la culture de guérilla
- Caché, certes, mais à quel point ?
- L’accessibilité
- De l’art de se cacher en pleine lumière
- Autres considérations
- Préparation d’une culture de guérilla
- Les meilleures variétés pour la culture de guérilla
- Trucs et astuces pour la culture en guérilla
- 1. Choisis un lieu éloigné
- 2. Camoufle tes plantes
- 3. Sois attentif à ton environnement
- 4. Choisis la bonne souche
- 5. Une bonne alimentation
- 6. La lutte contre les parasites
- 7. Surveille le calendrier
- 8. Fais attention à la faune
- Comment bien s’occuper des plantes
On aimerait tout avoir une serre pour faire pousser dans des conditions idéales, mais cela reste inaccessible à la plupart des amateurs de plantes vertes, pour des raisons de sécurité ou de discrétion, et ce même en disposant de l’espace nécessaire. Pourtant, cela ne veut pas dire qu’il te faut renoncer à toute forme de culture en extérieur.
La culture de guérilla, également connue sous le nom de culture furtive en extérieur, consiste à cultiver du cannabis dans un endroit secret, souvent éloigné des regards. Elle ne date pas d’hier, car le statut légal de la plante rend la culture en plein air plutôt compliquée. Plus d’un amateur de cannabis souhaitant éviter les risques et les coûts de la culture en intérieur ou dans un jardin traditionnel font donc ce choix.
Certes, l’évolution de la législation dans de nombreux pays rend la culture en extérieur plus simple. Mais nous en sommes encore loin dans la majeure partie du monde francophone, et même là où les lois sont plus souples, nul n’est totalement à l’abri du jugement de voisins un peu trop indiscrets. C’est pourquoi la culture de guérilla reste pertinente pour tous ceux qui souhaitent ne pas passer pour l’irrécupérable drogué du coin.
Bien évidemment, pour qu’elle réussisse il ne suffira pas d’enfouir quelques graines dans le sol et d’attendre que ça pousse. Nous avons rassemblé ici tout ce qu’il faut savoir sur le choix d’un emplacement, la préparation du sol et les soins à apporter à tes plantes, tout en restant discret et en préservant la santé des plantes, en vue d’une récolte pas dégueulasse !
Les avantages d’une culture de guérilla
Reconnaissons d’emblée qu’il ne s’agit pas de la méthode la plus simple. L’éloignement et le manque d’infrastructures peuvent rendre l’entretien régulier des plantes assez difficiles. Mais pour ceux qui sont prêts à faire un effort supplémentaire, certains avantages de ce mode de culture en valent vraiment la peine.
Des coûts réduits
L’une des principales raisons du choix de la culture de guérilla est la réduction des coûts. Quand on utilise une chambre de culture en intérieur, les coûts initiaux et continus liés à l’emplacement, à son aménagement, à l’achat de tout l’équipement et au paiement des charges s’accumulent rapidement. En revanche, la culture de guérilla ne nécessite pratiquement aucun investissement en dehors des graines et de quelques équipements de jardinage de base.
Il s’agit donc d’un excellent choix pour ceux qui veulent cultiver leur propre beuh sans se ruiner. Si l’idée d’investir dans une installation de culture sans avoir confiance en tes capacités te fait peur, la culture de guérilla est le point de départ idéal.
Plus de discrétion
À moins d’habiter au fond d’une vallée perdue, la sécurité et la discrétion sont des éléments essentiels de la culture en extérieur. Des gamins chapardeurs aux policiers, les menaces ne manquent pas. En choisissant de cultiver dans un endroit isolé, loin des regards indiscrets, tu augmentes tes chances de récolter tes plantes à la fin de la saison.
Choisir un emplacement pour la culture de guérilla
C’est la question primordiale : où planter ses graines ? Ton site de culture de guérilla doit être la combinaison parfaite entre l’éloignement et l’accessibilité – il y aura des choses à transporter – tout en ayant accès à une source d’eau, à une lumière suffisante et à une couverture suffisante pour éviter qu’il ne soit repéré.
Trouver la zone idéale peut s’avérer un véritable défi, et tu devras peut-être tu contenter de ce que tu as. Mais il y a quelques points à considérer lors du choix de ton site.
Caché, certes, mais à quel point ?
Comme nous l’avons dit, ton site doit être suffisamment éloigné pour éviter que quelqu’un ne tombe pas dessus par hasard. Idéalement, il faut trouver un lieu auquel ne mène aucun sentier, à quelques kilomètres de ton jardin (aussi loin que possible). N’oublie pas que l’odeur des plantes de cannabis en floraison est incroyablement puissante et qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un odorat de chien de police pour la détecter à une certaine distance. Des randonneurs curieux pourraient bien la sentir et vouloir jeter un coup d’œil.
L’accessibilité
Ceci étant dit, il faut aussi prendre en compte le fait que tu auras du matériel à transporter régulièrement, alors ne mets pas tes plantes dans un autre département ou en haut d’une montage. Assure-toi d’installer ta culture à un endroit que tu peux rejoindre à pieds sans trop de mal.
De l’art de se cacher en pleine lumière
Il peut être difficile de trouver un endroit aussi éloigné, en particulier pour les habitants des grandes villes. S’il n’y a aucun endroit qui corresponde à ces deux critères, tu devras faire de ton mieux avec ce qui s’offre à toi. Les parcs publics peuvent être tentants, mais ils sont très fréquentés. Essaie de te rendre dans une forêt à la périphérie de la ville ; en fouillant un peu, tu trouveras quelque chose. Où que tu ailles, veille à ce qu’il n’y ait pas d’éclairage public ou nocturne, qui pourrait ralentir la production de fleurs de tes plantes.
Autres considérations
La discrétion est essentielle, mais il y a d’autres éléments à garder en tête pour une culture de guérilla réussie.
- L’eau : Cela semble évident, mais si un site n’offre aucun accès à l’eau, il faut en chercher un autre. Le cannabis a besoin d’une énorme quantité d’eau. Dans certains cas, il faut plusieurs litres par jour. Moins tu dépenseras de temps et d’énergie à l’obtenir, plus tu pourras t’occuper de tes plantes.
- La lumière du soleil : Comme tu l’as appris à l’école, plus les plantes reçoivent de lumière, plus elles grandissent. Bien qu’une certaine couverture soit utile pour dissimuler ta culture aux observateurs aériens, une couverture trop importante risque de freiner leur croissance.
Si tu habites dans l’hémisphère nord, il faut que le ciel soit le plus dégagé possible au sud. Le meilleur scénario consiste à donner à tes plantes un accès à la lumière du soleil tôt le matin et un peu d’ombre pour les protéger de la chaleur de l’après-midi.
Préparation d’une culture de guérilla
Une fois l’endroit idéal trouvé, quelle est la suite ? La culture en extérieur ne nécessite pas autant d’équipement qu’une installation hydroponique en intérieur, mais ne se limite pas aux graines.
Le matériel nécessaire à la culture de guérilla
En fin de compte, les seules choses absolument nécessaires pour une culture de guérilla sont un système d’arrosage, une pelle et des moyens de lutte contre les parasites. Mais pour réussir en beauté, il faudra quelques trucs en plus.
Le système d’arrosage
Il peut s’agir d’un simple arrosoir si tu as trouvé un endroit avec de l’eau à proximité et que tu as la possibilité de tu y rendre au moins tous les deux jours. En revanche, si ton accès à l’eau ou ton temps est limité, tu devras probablement installer un système d’irrigation.
Beaucoup font le choix de pompes à eau submersibles car elles peuvent être placées dans un cours d’eau ou un étang éloigné du site et utilisées pour pomper l’eau. Cette méthode s’avère particulièrement utile pour les sites ne disposant pas d’une source d’eau fiable à proximité, mais elle nécessite une surveillance constante, en particulier si les conditions météorologiques ou la faune sont des facteurs à prendre en compte.
Les systèmes d’irrigation au goutte-à-goutte peuvent également être utiles. Ils utilisent de petits tuyaux pour acheminer l’eau directement à la base de chaque plante, ce qui réduit le risque d’arrosage excessif ou insuffisant. Ces systèmes nécessitent généralement plus de travail d’installation et d’entretien, mais ils offrent les résultats les plus fiables.
La préparation du sol
Ce n’est pas parce que ton site répond à toutes les exigences qu’il est prêt à accueillir des plantes de cannabis. Elles ont besoin de niveaux de nutriments assez spécifiques qui sont rarement idéaux dans un sol aléatoire. Si tu souhaites en savoir plus sur la préparation du sol pour ton jardin, consultes notre guide détaillé sur la culture en terre.
La lutte contre les parasites
En cultivant en plein air, il est inévitable d’être confronté à des parasites, et plus encore dans le cadre de la culture de guérilla. Les options biologiques comme l’huile de neem ou le compagnonnage de plantes constituent d’excellentes protections. Pour plus de détails, consulte notre guide sur l’identification et la prévention des parasites du cannabis.
Équipement optionnel pour la culture de guérilla
Ce n’est pas parce que tu n’en as pas besoin que ce n’est pas bénéfique. Il existe plusieurs équipements qui t’aideront à chaque étape du processus.
- Treillis ou supports
- Testeur de pH
- Engrais
- Paillis
- Sécateur
- Maille ou filet anti-insectes
- Clôture portative pour plus de sécurité
- Jumelles ou autre matériel de surveillance du site
- Gants et autres vêtements de protection
- Crème solaire et insectifuge
- Chaise portable (eh oui, il faut faire des pauses !)
Les meilleures variétés pour la culture de guérilla
Le choix de la variété qui tu conviendra le mieux dépend d’un certain nombre de facteurs tels que le climat, les effets recherchés et le degré d’isolement que tu souhaites. Mais en règle générale, nous ne pouvons que te recommander de sélectionner une variété robuste, haute et à floraison rapide.
1. Lemon Haze
Avec une durée de floraison d’environ 60 jours, la Lemon Haze n’est pas la plante qui fleurit le plus rapidement, mais elle compense ce petit désavantage par de nombreuses qualités : pendant ce délai, elle peut atteindre une hauteur de 2 mètres et les cultivateurs d’extérieur peuvent s’attendre à récolter jusqu’à 500 grammes par plante.
Cette variété est idéale pour les débutants et adore les environnements méditerranéens ensoleillés. Cette plante est un hybride à dominance sativa, elle a donc tendance à pousser en hauteur : parfait pour ceux qui ont une surface horizontale limitée.
2. Top 44
À l’autre extrémité du spectre, la Top 44 est une indica presque pure avec une durée de floraison de seulement 45 jours. A l’extérieur, cette plante a tendance à rester petite, n’atteignant qu’une hauteur d’environ un mètre. Cependant, ses branches épaisses et touffues ont tendance à pousser vers l’extérieur et la récolte peut être de 575 g par plante.
Si tu recherches une variété qui ne dépassera pas les plantes environnantes et que tu disposes d’un espace suffisant pour t’occuper d’elle, la Top 44 est un excellent choix pour la culture de guérilla.
3. Diesel NYC
Si tu disposes de l’espace et du temps nécessaire, la NYC Diesel est un choix étonnant pour tout cultivateur d’extérieur. Avec une hauteur maximale de 2m35 et un rendement de 650 g par plante, elle est aux weeds ordinaires ce qu’une BMW est à une Renault Dacia. Il s’agit d’une plante grande et élancée qui n’exige pas grand-chose de la part du cultivateur, sinon de la patience. La NYC Diesel a une durée de floraison allant jusqu’à 70 jours, ce qui en fait l’une des plantes les plus lentes du marché.
Autofloraison ou photopériode ?
Ches WeedSeedShop, toutes nos variétés sont disponibles soit en photopériode (régulière ou féminisée), soit en autofloraison. En fin de compte, c’est à toi de choisir, mais chaque variété a ses propres caractéristiques à prendre en compte.
- Photopériode : Ces graines commencent à fleurir quand la saison le veut. Si leur floraison est plus lente, elles sont aussi plus grande et produisent généralement beaucoup plus de weed à la fin.
- Autofloraison : Les graines à floraison automatique commencent à fleurir après une période prédéterminée. Cela les rend plus faciles et plus rapides à cultiver, mais avec des plantes plus petites et des rendements plus faibles, elles ne sont peut-être pas idéales pour une culture de guérilla.
Trucs et astuces pour la culture en guérilla
La culture de guérilla est une expérience gratifiante et passionnante, mais qui comporte ses propres défis, dont le plus grand est sans doute de garantir la discrétion et d’assurer la sécurité de ton site de culture. Voici un résumé rapide de tout ce qu’il faut savoir.
1. Choisis un lieu éloigné
Recherche un endroit isolé, hors des sentiers battus et loin des chemins de randonnée ou d’autres zones publiques. Cela permettra de cacher ton site de culture et de réduire le risque qu’il soit découvert.
2. Camoufle tes plantes
Dissimules tes plantes avec de la végétation naturelle ou d’autres moyens de camouflage pour les rendre moins visibles. Il peut s’agir d’utiliser des matériaux naturels pour créer un auvent ou des filets pour couvrir les plantes.
3. Sois attentif à ton environnement
Surveilles régulièrement les alentours de ton site de culture pour tu assurer que personne ne s’approche des plantes ou ne les observe. Utilises des jumelles ou d’autres équipements pour observer la zone à distance et guette tout signe d’activité avant de t’approcher.
4. Choisis la bonne souche
Choisis une variété bien adaptée au climat local et aux conditions de culture, afin que les plantes se développent et produisent un rendement de haute qualité.
5. Une bonne alimentation
Les plants de cannabis ont besoin d’un équilibre de nutriments pour croître et produire des bourgeons sains. Utilises des engrais organiques ou du compost pour fournir les nutriments nécessaires et surveilles les plantes pour détecter tout signe de carence en nutriments.
6. La lutte contre les parasites
Les méthodes de lutte biologique contre les ravageurs, telles que le compagnonnage, l’utilisation d’herbes qui repoussent les insectes ou la pulvérisation d’insecticides naturels, peuvent aider à tenir les ravageurs et autres prédateurs à distance.
7. Surveille le calendrier
Enfin, le choix du moment est crucial pour une culture de guérilla réussir. Le choix de la bonne période de l’année pour planter peut faire toute la différence. En général, il est préférable de planter au printemps, lorsque le risque de gel est passé et que les jours rallongent. Cela permettra aux plantes de profiter de la météo et de produire un rendement plus élevé.
8. Fais attention à la faune
Les animaux aiment les plantes. Même un cultivateur d’intérieur doit faire face aux parasites. Alors en extérieur et hors d’un jardin, la taille des ennemis de tes plantes peut devenir un véritable problème. Des animaux comme les lapins, les cerfs et même les ours peuvent s’intéresser à elles et, si l’on n’y prend garde, un seul animal curieux peut suffire à détruire tout ton été.
Les précautions à prendre dépendent des animaux présents dans la zones, mais il y a quelques points à prendre en compte lors de l’installation.
- Les clôtures : Une clôture solide peut empêcher les gros animaux tels que les cerfs, les ours et les ratons laveurs d’entrer. N’oublie pas que plus la clôture est grande, plus elle sera visible pour les passants.
- Les répulsifs : La pulvérisation de répulsifs tels que la capsaïcine, l’ail ou l’urine de prédateur peut aider à empêcher les animaux de manger tes plantes.
- Les filets : Les filets peuvent protéger tes plantes des oiseaux, des écureuils et d’autres petits animaux.
- Les arroseurs activés par le mouvement : Les arroseurs activés par le mouvement peuvent effrayer et dissuader les animaux qui s’approchent trop près de tes plantes. Il s’agit toutefois d’un matériel coûteux et difficile à mettre en place.
- Les tactiques d’intimidation : L’utilisation de tactiques d’intimidation telles que les épouvantails, les bandes réfléchissantes ou les dispositifs sonores peut contribuer à éloigner les animaux.
- Contrôles tes plantes : Une visite régulière de ton site de culture peut t’aider à détecter les dommages causés par la faune et à prendre des mesures pour éviter que la situation ne s’aggrave.
- Utilise des moyens de dissuasion naturels : La pulvérisation d’un mélange d’eau et de vinaigre ou la pose de barres de savon autour de ton site de culture peuvent également contribuer à tenir les animaux à distance.
Comment bien s’occuper des plantes
Maintenant que tout est prêt, comment réussir cette culture de guérilla ? En principe, il n’y a pas de différence entre cultiver dans son propre jardin et cultiver dans un endroit éloigné. Cela dit, il est absolument vital de se rendre sur place aussi souvent que possible. MAIS, tu ne dois pas non plus tu y rendre tous les jours. Cela attirera l’attention et tu risques de tracer accidentellement une piste que d’autres suivront.
De nombreux cultivateurs installent un petit campement sur le site pendant les premiers jours afin de garder un œil sur tout et de s’assurer du bon fonctionnement de leur opération. Les deux premières semaines sont les plus critiques, jusqu’à ce que les plantes aient eu l’occasion de s’enraciner et de développer leurs premières feuilles. C’est une excellente idée si tu disposes du temps et des ressources nécessaires.
En règle générale, tu dois te rendre sur place au moins une fois par semaine, à moins que tu n’aies réussi à mettre en place des dispositifs de surveillance très sophistiqués. Mais même si tout semble parfait sur la caméra, rien ne remplace un constat de visu.
Sur ton site de culture, il te faudra essayer de garder tout ce dont tu as besoin à portée de main afin d’éviter d’avoir à tout transporter à chaque fois. C’est particulièrement important si tu as réussi à trouver un endroit incroyablement éloigné. Les éléments tels que les nutriments, les arrosoirs et les outils peuvent tous être conservés à l’extérieur, à condition d’être placés dans une boîte ou un coffret protégé.
Il y a beaucoup de choses à surveiller. Mais le jeu en vaut la chandelle, car après quelques mois… Il est temps de récolter !
La récolte d’une culture de guérilla
Dans ses principes, la récolte de ta culture de guérilla ne diffère pas de n’importe quelle autre récolte de cannabis. À ceci près qu’il te faudra transporter ta weed pour la mettre en lieu sûr.
Au terme de sa floraison, le cannabis sent très fort. Quiconque s’approchera de toi ou de ton site le sentira. Si la discrétion est ton principale préoccupation (ce qui est certainement le cas), envisage de faire une randonnée nocturne avec quelques amis. Allez-y tôt et commencez à couper, emballer, et déplacer les têtes sous le couvert de l’obscurité.
Certains cultivateurs peuvent choisir de laisser sécher leur récolte sur place. Cela reste envisageable dans le pire des cas, mais laisser ton site installé ne serait-ce qu’un jour de plus que nécessaire est un risque qu’il vaut mieux éviter.
Enfin, n’oublie pas de toujours nettoyer tout ce que tu as emporté ! À la fin de ta récolte, il ne devrait plus y avoir aucun signe de ta présence.
Voilà, tout ce qu’il faut savoir pour démarrer ta propre culture de guérilla. T’y es-tu déjà essayé ? Quels sont les problèmes que tu as rencontrés et comment les as-tu résolus ? Fais-le nous savoir dans les commentaires.